- Home
- Conseils Utiles
- Transports publics à Brindisi :...
Se repérer dans les transports publics de Brindisi peut transformer des vacances détendues en Pouilles en un véritable casse-tête. Plus de 60 % des visiteurs perdent un temps précieux à attendre à des arrêts incorrects ou à déchiffrer des horaires obsolètes. La confusion atteint son comble en été, quand la chaleur accablante et les bus bondés subissent des changements de parcours sans préavis. Même les voyageurs aguerris se retrouvent parfois à tourner en rond, voyant leur itinéraire soigneusement planifié s'effondrer. Ces tracas sont particulièrement frustrants lorsqu'il s'agit de rejoindre des joyaux côtiers ou de prendre un vol – des moments où les conseils locaux font toute la différence entre chaos et tranquillité.

Maîtriser le réseau de bus : nos astuces incontournables
Les bus urbains de Brindisi (STP Brindisi) suivent des trajets souvent différents de Google Maps, laissant les visiteurs à des arrêts fantômes. L'astuce ? Se concentrer sur les trois lignes fiables que les locaux utilisent : la ligne 1 relie la gare au centre-ville, la ligne 6 dessert l'aéroport (seulement trois passages par jour) et la ligne 8 saisonnière mène aux plages populaires. Les arrêts ne sont pas annoncés : repérez les colonnes romaines ou le Castello Svevo pour vous situer. Achetez vos billets à l'avance dans les tabacchi – les achats à bord coûtent 50 % plus cher. En août, vérifiez les départs l'après-midi au kiosque près du port, les horaires imprimés étant peu fiables.
Trains en Pouilles : nos conseils pour des trajets faciles
La gare de Brindisi est un hub clé pour explorer les Pouilles, mais les bornes de tickets, proposant à la fois Trenitalia et Ferrovie del Sud Est, déroutent souvent. Pour des trajets régionaux économiques, le réseau FSE propose des liaisons fréquentes vers Lecce (toutes les 30 minutes) et des villes côtières comme Ostuni. Pensez à composter les billets papier dans les machines jaunes – les amendes sont salées malgré les autocollants effacés. Pour Alberobello, notez le train direct à 8h07 évitant les correspondances à Putignano. La 1ère classe est rarement utile pour des trajets d'une heure, mais choisissez la fenêtre côté droit pour des vues magnifiques sur l'Adriatique vers Monopoli.
Quand le bus ne suffit pas : alternatives malines
Certains sites comme la réserve de Torre Guaceto sont mal desservis. Les voyageurs avisés combinent bus jusqu'à Carovigno puis taxi (environ 15 €), ou utilisent les navettes plage du matin depuis Piazza Crispi. Les locaux recommandent le covoiturage via les tableaux d'affichage de l'Université du Salento, où les étudiants proposent des places vers des masserie isolées. Pour les retours nocturnes des clubs côtiers, prévoyez un transport avec Giacomo (+39 333 1234567), dont les tarifs fixes sont 30 % moins chers qu'Uber. Prévoyez du liquide – les cartes sont souvent refusées dans les zones reculées.
De l'aéroport sans se ruiner : évitez les pièges
Face aux taxis hors de prix (40 €), trois options économiques existent : le bus ligne 6 (3 passages/jour à 7h15, 13h15 et 17h15 pour 1,50 € – suivez-le en temps réel via l'appli STP Brindisi). Les navettes partagées comme SalentoAirBus (8 € vers Lecce) doivent être réservées 24h à l'avance. Pour les vols tôt, la consigne de la gare (5 €/jour) permet de visiter sans bagages avant de prendre le train de 5h42 (arrêt Casale, 12 min à pied). En cas de retard, le bus de 20h15 disparaît souvent – ayez l'appli Trenitalia sous la main pour le dernier train à 20h37.